Amandes amères d’abricots

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Amandes amères d’abricots qui détruisent les cellules cancéreuses.

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Description

HISTORIQUE DE LA DÉCOUVERTE

Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils le Dr E.T. Krebs Jr.ont publié un document intitulé « La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer », dans le Medical Record, de New York. Dans les années qui ont suivi, l’équipe père et fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter de carences, particulièrement en vitamines.

Dans le début des années 1950, ils apprirent qu’au royaume des Hunzas, dans les montagnes Himalayennes situées au nord du Pakistan, il était dit que ce peuple vivait « sans cancer ». Les Docteurs Krebs savaient qu’ils mangeaient de grandes quantités d’abricots sauvages (donc, amèrs), mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer … jusqu’à ce qu’ils aient découvert que les Hunzakuts mangeaient également les amandes des noyaux d’abricots ; leur particularité : on sait que ces amandes sont très riches en NITRILOSIDES. En outre, on les trouve aussi dans les amandes (d’amandiers), graines de pêches, pépins de pommes (pectine), millet, fèves germées, sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, mais en quantité inférieure.

NOTA : seuls les abricots producteurs d’amandes amères sont efficaces.

Les Dr. Krebs ont ensuite défini que le principe actif des nitrolosides était précisément dans certains glycosides qu’ils réussirent à extraire. Finalement, ils ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides qu’ils baptisèrent du nom de LAETRILE, en vue d’une utilisation clinique.

Ce Laetrile fut ensuite catalogué Vitamine B17.

DES NOYAUX D’ABRICOT, TOUT SIMPLEMENT

Il s’est avéré que le Hunzakuts consomment entre 100 à 200 fois plus de B17 que l’Américain moyen, en raison principalement du fait qu’ils consomment des amandes de noyaux d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, là bas, la richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. La nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza, était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».

POURQUOI N’A-T-ON PAS ENTENDU PARLER DE LA VITAMINE B17 ?

Cela semble si simple ! La vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia Médicale a monté avec grand succès, des campagnes effrayantes, basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités « meurtrières » de cyanure, alors que c’est faux !

Voici pourquoi : chaque molécule de vitamine B17 contient une unité de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde, et deux unités de glucose qui sont verrouillées ensemble et forment une synergie inoffensive comme cela se passe souvent dans les produits naturels.
Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut le déverrouiller de la molécule B17 ; or ceci ne peut être effectué que par une enzyme appelée bêta-glucosidase, qui est présente partout dans le corps humain en quantités infimes, mais par contre, que l’on trouve en grande quantité dans les cellules cancéreuses. TRÈS INTÉRESSANT ! Le résultat est d’autant plus dévastateur pour les cellules cancéreuses que les unités benzaldéhyde se déverrouillent en même temps ; or le benzaldéhyde qui est déjà un poison mortel en lui-même, quand il fait équipe avec le cyanure, devient 100 fois plus mortel. Les cellules cancéreuses sont littéralement désintégrées !

CECI N’EST-IL PAS SANS DANGER POUR LES CELLULES SAINES ?

Il faut savoir que dans les tissus sains une autre enzyme, le rhodanèse, présente en quantités – beaucoup plus importantes que l’enzyme de déverrouillage, la beta-glucosidase – a la capacité de dégrader entièrement à la fois le cyanure et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un antidouleur de la famille de l’aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanèse, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.

Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales (ce qui est loin du cas de la chimio). Cà, c’est une très mauvaise nouvelle pour l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots sont à la portée de n’importe quel porte monnaie, au regard des prix exorbitants des cocktails médicamenteux agressifs de la chimiothérapie.